Un mois après les heurts contre un convoi français de l’opération Barkhane au Sahel, le président nigérien Mohamed Bazoum a « exigé » vendredi des autorités françaises qu’elles ouvrent une enquête après la mort de trois personnes dans ces incidents. Des manifestants avaient bloqué le convoi militaire pour protester contre la présence de la France au Sahel.