Des tirs ont été entendus, dimanche, dans plusieurs casernes burkinabè, dont trois d’entre elles sont situées dans la capitale Ouagadougou. Des coups de feu se sont également produits dans des casernes de Kaya et Ouahigouya, dans le nord du pays. Le gouvernement reconnaît les « tirs », mais dément « une prise de pouvoir par l’armée ».