À Bamako, des manifestants célèbrent les nouveaux partenaires russes du Mali. L’opposition, elle, s’inquiète. L’ex-ministre Kassoum Tapo met en doute la fiabilité du groupe Wagner, rappelant qu’il s’agit d’une « société privée, agissant pour ses intérêts » : « Ils ne vont pas mourir pour le Mali et le jour où on ne les paiera pas, ils nous abandonneront en plein vol ». Dans la région de Gao, des populations se disent livrées à elles-mêmes et réclament le retour de la sécurité.