À deux semaines du scrutin, le chef de la puissante centrale syndicale tunisienne UGTT a critiqué, samedi, les élections législatives, estimant qu’elles n’avaient aucune raison d’être après la réforme contestée de la Constitution qui réduit le rôle des partis politiques. La plupart des partis, notamment ceux de l’opposition, ont appelé à boycotter le scrutin.