La pression monte sur les autorités du Burkina Faso après le massacre de plus de 150 civils par des hommes en uniforme dans des villages du Nord. Samedi, lors d’une conférence de presse, le porte-parole des victimes, avec qui France 24 s’est entretenu, a réitéré ses accusations contre des membres des Forces de défense et de sécurité.