Alors que le tremblement de terre qui a secoué le Maroc, dans la nuit du 8 au 9 septembre, a fait plus de 2 900 morts, selon le dernier bilan, cinq jours après le drame, la situation reste particulièrement alarmante dans de nombreux villages du Haut-Atlas, pulvérisés par la violence du séisme, le plus meurtrier qu’ait connu le Maroc en plus de 60 ans.