Mis en danger par les frappes israéliennes, contraints de fuir avec leurs familles, sans accès à l’eau ni à l’électricité, les journalistes restés à Gaza tentent d’informer dans des conditions très précaires et au péril de leur vie. Avec 19 journalistes tués depuis le début de la guerre, l’enclave est devenue le lieu le plus dangereux pour la profession.