Pour la deuxième fois en vingt ans, les autorités iraniennes ont dépassé en 2023 le seuil record de 800 exécutions, alerte un rapport conjoint de plusieurs ONG. Celui-ci souligne que Téhéran se sert de la peine de mort comme d’un « outil de répression politique » après le soulèvement « Femme, vie, liberté » ayant suivi la mort de Mahsa Amini en 2022.