Le ministre hongrois de l’Intérieur a confirmé que des policiers chinois allaient patrouiller en Hongrie. Une collaboration qui va à contre-courant de la méfiance de l’Union européenne à l’égard de Pékin, accusé de chercher à surveiller sa diaspora par tous les moyens. Mais pour Viktor Orban, elle est la continuation logique d’un pari de dix ans sur la Chine.